Les 4 clés pour transformer un comité de Direction en une équipe

 « Les équipes de Direction existent souvent sous une forme ou sous une autre. La plupart des équipes se rencontrent plusieurs fois par an, mesurent les progrès et fixent les objectifs. Ensuite, chaque Directeur retourne dans son unité, où il croit que son vrai travail a lieu. C’est une opportunité manquée. Les équipes de Direction qui fonctionnent comme des équipes réelles sont résilientes et plus adaptatives. Elles accélèrent la performance de l’entreprise, atteignent des objectifs plus audacieux et sont plus disposés à expérimenter.»

(http://positiveleadership.fr/les-4-cles-pour-transformer-un-comite-de-direction-en-une-equipe/)

Pourquoi l’intelligence collective ne suffit plus

 « 3 effets pervers induits par l’intelligence collective : en premier lieu, elle dilue les responsabilités et les autorités de toutes les parties prenantes. De ce premier effet pervers en découle un second : le coût élevé de l’intelligence collective. Et pour cause, tout doit passer par un processus de décision collectif. Le troisième effet pervers peut porter le coup fatal. L’absence de vision, d’horizon, l’impossibilité de prendre des décisions et d’appuyer l’organisation sur des responsabilités bien identifiées affaiblissent la dynamique du corps social qui devrait animer l’entreprise et ses collaborateurs.

(https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2019/03/24863-pourquoi-lintelligence-collective-ne-suffit-pas/)

La génération Z, plus fidèle à l’équipe qu’à l’entreprise

 « Le premier levier de fidélisation de la génération Z est l’esprit d’équipe (28,8%) avant même le salaire ou la volonté de travailler à l’international. Pour elle, les qualités essentielles requises d’un manager sont la capacité à motiver (87%), à écouter (86%) et à fédérer (79%) selon le baromètre « Talents : ce qu’ils attendent de leur emploi ». Un des rôles clés du manager est d’améliorer la cohésion de son équipe »

(https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2018/04/19864-generation-z-plus-fidele-a-lequipe-qua-lentreprise/)

Le FMI dévoile une crypto-monnaie d’expérimentation, le Learning Coin

 « …A travers des formations sous forme de vidéos, présentation ou documents de recherche, les participants devront atteindre des « objectifs éducatifs » pour gagner des crypto-monnaies. L’objectif est de recréer un écosystème et de comprendre les différents enjeux autour de ces actifs… »

(https://www.presse-citron.net/fmi-devoile-crypto-monnaie-experimentation-learning-coin/)

La finalité de l’entreprise : un progrès symbolique appréciable

« Notre définition juridique de la société (qui la réduisait à un rassemblement d’actionnaires) était gravée dans l’article 1833 du Code civil héritage du zénith de l’empereur Napoléon, datant de 1804 – une époque postérieure à la première Révolution Industrielle (1780, mue par la machine à vapeur) mais antérieure à la seconde (1880, mue par l’électricité). Elle n’a pas été retouchée depuis cette époque où les corporations étaient abolies (par la loi Le Chapelier de 1791), où les entreprises, à l’exception de quelques manufactures, étaient essentiellement des échoppes de marchands et des ateliers d’artisans»

(https://www.linkedin.com/pulse/loi-pacte-le-couronnement-de-la-rse-martin-richer/)

Le Responsable Formation n’est plus…

 «… une action de formation se définit désormais comme « un parcours pédagogique permettant d’atteindre un objectif professionnel. Elle peut être réalisée en tout ou partie à distance. Elle peut également être réalisée en situation de travail ». En d’autres termes, ce qui relève de la formation n’est plus seulement un événement dans une salle mais un processus qui intègre différentes modalités pédagogiques et qui répondent à un objectif..» (https://www.linkedin.com/pulse/le-responsable-formation-nest-plus-sylvain-martinet/)

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